MANIFESTATION ANTIFASCISTE : LRSY place nappe – Samedi 10h00

Arrivée au gouvernement en Italie, en Hongrie, en Slovaquie, en Finlande… Nous nous offusquons du score de l’extrême droite aux élections européennes.
Mais l’extrême droite, ce n’est pas juste un parti, une tête de liste… L’extrême droite c’est surtout des idées et des manières d’agir.

Déjà présente !

L’extrême droite est déjà présente dans notre quotidien. Ses idées se
diffusent via les Cnews, les BFM, les Sud Radio, etc… Elle est là quand un
collectif antifasciste est dissout, quand une manifestation pour la paix au Moyen Orient est interdite, quand des militant·es écologistes sont mutilé·es, des gilets jaunes éborgné·es, des émeutier·ères tué·es ! Elle est là quand des violeurs sont nommés ministres, quand Pétain est décrit comme un héro, quand les défilés fascistes polluent les rues. Elle est la vidéosurveillance, elle est le flingue dans les mains de la police, elle est le SNU qui pervertit la jeunesse…
Nous n’oublions pas celleux qui provoquent la montée de l’extrême droite ni d’où iels sont issu·es.

Le fascisme, c’est la gangrène,
on l’élimine ou on en crève !

La lutte doit s’intensifier en vEndée !

Le MPF, le puy du fou, la crèche de noël au conseil départemental, les saccages de stands LGBT+, les actions anti-avortements, l’ICES, le rassemblement vendéen, les cathos intégristes, les scouts d’europe, le passeport du civisme…

YA BASTA !

Dans les administrations, dans l’éducation et dans la rue, organisons le combat !

L’extrême droite : la haine et le fric !

Tous les votes RN nous montrent le vrai visage de l’extrême droite : casse des conquis sociaux, recul des droits des femmes*, persécution des LGBT+, connivence avec le patronat, négationnisme climatique, dérégulation de l’usage des pesticides, cadeaux aux chasseurs, copinage avec l’élevage intensif, traque des exilé·es, stigmatisation des musulman·es…
Les travailleur·euses ont tout à perdre avec l’extrême droite et c’est tous les jours qu’il faut la combattre !
Enrayer la gangrène qui se répand, dépend de l’engagement de chacun·e, de son entrée en résistance individuelle et collective, de son désir de retrouver espoir pour une société de liberté, de solidarité, d’émancipation, que les anarchistes ont depuis toujours chevillée au corps.